NEW ALBUM - "Remember my name"

SUMMER TOUR 24

OCT 06 - SAN GIOVANNI VALDARNO (AR) - Mystufato fest

OCT 25 - GAMBETTOLA (FC) - "sporchi di blues" festival, PAC Polo Artistico

OCT 26 - CHIARI (BS), SHOWCASE at Studio ADMR,

Via Monteverdi 14, Chiari (BS)
Info: 3493589244 - maurizio.mazzotti61@gmail.com

NOV 02 - MESOLA (FE), Sapori d'autunno fest

Didascalia

PARIS MOVE

Formé à Bologne (Italie) en 2015, Lovesick est un duo constitué du guitariste, chanteur et lap-steelist Paolo Roberto Pianezza, et de la contrebassiste et chanteuse Francesca Alinovi. Mordus de vintage american music (de la country au rock n’ roll, en passant par le western swing), ils ont déjà publié cinq albums à eux deux, mais celui-ci revêt une importance particulière, et ce pour au moins quatre raisons. Tout d’abord, comme les Trois Mousquetaires (ou le Jon & John Trio, récemment chroniqué ICI), ils ne sont plus deux mais trois, avec l’adjonction du violoniste, chanteur et batteur Alessandro Cosentino. Ensuite, après avoir fantasmé des années durant sur les USA (un peu comme leur compatriote Adriano Celentano), ils y sont enfin partis tourner et enregistrer. Et puis, après s’être longtemps auto-produits, ils se sont résolus à faire appel à un producteur de renom, en la personne de Fabrizio Grossi (bassiste et chanteur de Supersonic Blues Machine, chroniqué ICI et ICI, ainsi que de Soul Garage Experience, chroniqué ICI). Enfin, cet album bénéficie désormais d’une distribution par delà les frontières de leur pays, puisque les voici à présent au catalogue prestigieux de nos Rock N’ Hall et Dixiefrog nationaux. Tous de la plume conjointe de nos tourtereaux, ces onze originaux (captés à Los Angeles au printemps 2023) ravivent les souvenirs de Leon Redbone et Bob Brozman (“Until I’m Done” et “Don’t Be Afraid Of The Dark”, avec leurs chœurs, leur clarinette et leur violon façon Grappelli), mais aussi ceux des débuts de Johnny Cash (“Blue Skies” et la plage titulaire) et d’un certain Presley (“The Rain”). La palette des références de Paolo Roberto s’étend jusqu’à Buddy Holly (“You And I” et l’irrésistible “Goin’ Down”) et Eddie Cochran (“Goin’ Back For More” et son fulgurant solo de guitare, ou encore le jeune Paul Anka pour “Martha”, tous deux sur mambo beat). Le King Of Western Swing, Bob Wills, n’est pas en reste avec “I’ve Got A Smile For You”, où la lap-steel en remontre au violon. Ce panel se referme sur l’instrumental hawaïsant “Kauai”, réminiscent de la Tau Moe Family. Si vous appréciez Pokey Lafarge, Moriarty ou encore Jonathan Richman, cet album joyeux et délibérément suranné ne déparera en rien votre discothèque: le rayon de soleil bienvenu de cet été indien!

Patrick DALLONGEVILLE
Paris-Move, Illico & BluesBoarder, Blues & Co

PARIS-MOVE, September 13th 2024

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KULTUR MAG

"Eine perfekt gespielte Rock'n'Roll-Gitarre, ein Kontrabass, der ständig rumpelt, ein bisschen Geige und ein gut besaiteter Bariton. Lovesick haben eines mit „Until l’m Done“.Musik wie im Saloon nebenan, irgendwie die gute alte Zeit, als die Leute in der Pause zwischen zwei Whiskys noch mit den Händen spielten und Elvis sein erstes Album in den Sun Studios aufnahm. Aber Lovesick kommen aus Italien. Gitarrist und Sänger Paolo Roberto Pianezza und Bassistin Francesca Alinovi (mit Gastmusikern wie dem Geiger Alessandro Cosentino) erweisen sich als Americana-Experten. Die elf Titel auf diesem Album bieten einen schönen stilistischen Querschnitt. In „Goin‘ Back for More“ scheint Roy Orbison ein CCR-Stück zu spielen, die Gitarre klirrt und klingelt und Pia-nezza ist stimmlich bereits in Bestform.Gleich danach zeigt er seine SensibilitätDazu „Don’t Be Afraid Of The Dark“, eine Western-Swing-Ballade mit schmalzigem Hintergrundchor. Und das schwungvolle „Martha“ führt uns zurück in die Zeit der großen Lieder, die man gemeinsam singt, während die Pianezza nach Martha auch Lust hatte. nach Julie, Alice und Maggie.Als Türsteher gibt es auch das Instrumental „Kauai“ mit tollem Hawaii-Urlaubs-Feeling

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VINILE MAG

"Theirs is not a mere imitation of certain stylistic features, but rather a sincere approach to a mood that still has its raison d'être today. In "All Over Again" there is not only enthusiasm and passion, but also study and technique, as well as an innate ability to churn out captivating and colorful melodies, delicious southern rock frescoes and nostalgic ballads."

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